
LES COMMERCES DE CAMON
des ANNEES 1960 et après !
Agriculteurs :
P. Beauvais, J. Brunel - A Bruxelles
- J. Caron B - Chatellain - J. Clair - M. Cozette
- Vve Cozette, - Desgrousillier -
Avant desgrousillier, il y avait Marcel Héricotte là ou habite
aujourd'hui André Lecomte
- V. Detoisien, - V. Détourné, - Dourlens, - P. Houdant,- L. Hynaux,- L. Kramer.Riou
- M. Lejeune,- D. Méresse, - J. Molon,-
B. Ossart,- GAEC.- P. Ronger,- J. Ruhlmann, - O. Saelens,-
R. Desavoye, - Louis Vaquette - Verstraeten
- Phaff - V Héricotte - Pierre Vaquette - Brulin - Fagot - V.Patte - Catelain
- Desavoye

le p'tit marché de Mme
DESAVOYE, le dimanche matin
MORDACQUE au 13 de la rue Victor Mauduit, gérait "la laiterie", la coopérative des cultivateurs de Camon.
*
ALIMENTATION.
"ANGELA" à côté du café
"Au Bon Coin" à l'angle des rues Karl Marx et Charles Flet.
DEVAUCHELLE "Nestor" tenait La COOP à côté de la Caisse d'Epargne d'aujourd'hui.
DELILLE, mareyeur, poissonnier,
la grande maison de la rue Emile Debrie, celle qui successivement a été
occupée
par Emile Debrie, maire 1896-1912 puis par le Docteur St Aubert, MM Fougerat, le Docteur Deschildre et aujourd'hui par Mme et M. Krison des magasins Leclerc de Rivery.

FAMILISTERE, rue Marius Petit, près
du Monument aux Morts, ce magasin devenu "RADAR" a longtemps été régenté par les
COLMAIRE. On y accédait également par la
Place de Camon. Ce fut, après RADAR et pour peu de temps, une maison de jeux.
Il existait également un accès d'entrée sur la place.
LA RUCHE, sur la place de Camon. Magasin géré par les ALLARD, BAGOUSSE Lucien, VIGREUX Julien conseiller municipal sous Paul Garçon, sa fille
Mariette LEFORT,
HENNERET, LECADIEU, CARPEZAT, et sous l'enseigne
"CASINO" par Roland et
Maryse PREVOST gérants de 1987 à 2002.


La Ruche devenu "le Petit Casino"
M et Mme DUFOSSE, laitier, là où se trouve la Maison de la Presse près du Monument aux Morts. Ils livraient à domicile.
PONTHIEU Jeannette, femme de Raymond, (conseiller municipal sous Paul GARCON) parents de Michel PONTHIEU, maire de Camon de 1995 à 2001.
Jeannette tenait une "épicerie fine". Son magasin se situait rue Jean Jaurès, face au presbytère d'aujourd'hui. La
COOP prit ensuite la place. Puis DASSONVILLE, tissus, rideaux
qui par la suite s'installa sur la zone d'activités. Ce fut ensuite M. Depuydt, outillage agricole...
M. LAMANT,
fruits et légumes, avenue Gabrielle, à gauche en descendant.
M. FROMENT, rue Emile Debrie, marchand des "4 saisons"
Mme SIMONIN , rue Marius Petit, mère de Dédé, vendait fruits et légumes.
LEMAIRE Jacques : 21 rue
Marie Curie.
ANGOT Michel
place du général Leclerc
N.B. Un grand nombre des 19
cafés,
voir cette page.
de l'époque vendaient également de l'épicerie, de la viande des conserves....
*
AMBULANTS (marchands)
ARGENTINE, la marchande des "quatre saisons". Elle habitait la maison en brique de la rue Roger Allou,
celle qui fait face à "ech'port à fien". Sa baladeuse, "ch'binard" comme elle était appelée est restée célèbre.
"LABAISSE" : vendait fruits et légumes chaque semaine. Derrière son petit cheval colérique, il criait à tue-tête
"aujourd'hui, la baisse ! Aujourd'hui, jour de baisse" !. Il n'en fallait pas plus pour le baptiser "LABAISSE"
"BEAUVAL"
: Beauval était son surnom parce que, chaque samedi, il venait en camionnette de Beauval. Il vendait du pâté, de la charcuterie...
"ECH' SOURD" vendait chaussons, chaussures. Sa baladeuse
était tirée par "ech'bodé"
CAIFFA
: le samedi après midi vendait huile, sucre, café. Il arpentait les rues de Camon avec sa voiture à trois roues.
LA SALADE, Mme LANFLE. Sa maison était sous le mûrier du parc justement appelé "grand'mère à salades". Mme LANFLE, sa baladeuse, son chien sont restés célèbres.

"Et de l'autre côté en allant vers Rivery, les champs s'étendaient à perte de vue. Seule "grand mère" montait la garde au bord des rieux." (abbé CLABAUT qui raconte sa visite du village lors de son arrivée au presbytère en 1958).
On passe sous silence le "Peaux ! Peaux de Lapin ! et le remouleur
qui aiguisait les instruments tranchants… apanage de tous les villages.

*
ARTISANS,
Maçonnerie, Carrelage,
Plâtre :
BROUSSE Pierre, constructeur de caravanes rue Marius Petit. Jean Jacques, le fils.
Spécialisés qu'ils étaient dans le capitonnage des caravanes, (la leur
était appelée la "Rolls" des caravanes). Auparavant ils fabriquaient des cabines de tracteurs. L'atelier se situait sur la gauche avant d'atteindre le Pont de la Borne.
Pierre BROUSSE, à sa création était secrétaire de l'U.S. CAMON Football.
DELATTRE, au 28 de l'impasse Victor Hugo. Tonnelier, réparateur de fûts. Il habitait "ech'cato" comme on disait alors.
M. Delattre était un homme généreux : il prêtait mulet, voiture pour le transport de marchandises. Il aidait les gens dans leurs déménagements …
TROGNEUX Charles, rue Marius Petit, à côté du Pont du Pré Porus, face à l'ex-café Verdier.

Charles expose à la Hotoie en 1950
"photo Alain Trogneux,
dans Amiens année 1950"
Après avoir fabriqué des cadres de vélo, il se mit à fabriquer des machines à laver qu'il louait.
Par la suite, il s'installa au delà du Pont de la Borne, à l'angle de la rue de l'agrappin et de la rue Voyelle. Cette maison existe toujours.
Son épouse après avoir distribué le "Progrès de la Somme" journal qui disparut à la Libération, portait de porte en porte le "Courrier Picard".
VOITURIER, électricien installé au "talus"
de l'entrée de la rue Henri Barbusse.

Numa LEJEUNE
au 87 rue Marius Petit, vendait, réparait les vélos. C'est lui qui tenait le "café de le jeunesse "le café de la place de l'église que l'on a cru bon remplacer, malgré une opposition farouche, au début des années 80, par un immeuble.
Plus récemment :
ALVES Augusto
811 rue Nationale Petit Camon
BERIO Pierre 20
rue Roger Allou, (celui a qui construit l'immeuble de la place de
l'église)
QUIGNON gilles,
rue Henri Barbusse,
LEMAIRE, les
frères, rue Victor Mauduit.
MILLE Pierre,
rue Henri Barbusse,
CARPENTIER
Robert, 440 rue Roger Salengro,
GODE Joël rue
Honoré de Balzac,
MALACHIN Albino,
rue des trois Bazin.
FRION Michel,

président de l'U.N.R.P.A.
jusqu'en 1998.
LANNOY Alfred, rue Henri Barbusse. Il tint ensuite le café "le Miroir de Porto".
Ce faut ensuite M. de SOUSA.
LEMAIRE, les "Frères Lemaire" Michel et Georges, 15 rue Victor Mauduit.
LOYER, rue Emile Debrie
WUISBECK, rue Chevalier de La Barre. Il
s'installa d'abord place du général Leclerc.
COCHON :
"un "gars du bâtiment" qui, parfois contrarié, sonnait le clairon à minuit pour le faire savoir".
dixit Pierre Beauvais.

*
BOUCHERIES
BETHMONT puis CAVY, BALLET, BALAVOINE et aujourd'hui
FALIZE, rue de l'Egumont.
BETHMONT régentait un abattoir. Il était originaire de la région parisienne.

Boucherie Falize
CATONNET, la boucherie
"LAJOIX", récemment fermée. On entrait dans la magasin par la place ou par la rue Marius Petit. La maison est fermée depuis 2001.

boucherie "Lajoix"
"Ech"tueux de cochons", Philogène. Sa maison était face à celle de Madame
BOIGNARD (l'égérie du temps de Gaston BRUNEL, maire 1924-1945), rue Victor Mauduit. Philogène a été victime des bombardements de 1944.
FAVRY Paul, 13 rue Emile Debrie, face à la maison Pierre BEAUVAIS puis G. Bellavoine et R. Desforges. La maison de couleur jaune
fut fermée en 1995.
"Ech' père
Delahaye" : également à ses heures, tueurs de cochons.
GROSSMY place du 8 mai. Aujourd'hui local de la fédération de
handball de la Somme.

Centre Commercial place du 8 mai. (avant 1960)
TOULLET, à l'angle des rues Jules Guesdes et Emile Debrie, vendait du poisson.
Gabrielle MERLET, vendait aussi du poisson.
*
BOULANGERIES.
Pour la petite histoire :
le 16 juin 1937, il y eut grève générale des boulangers. Adalbert MASSE, négociant en vin, adjoint au maire Paul Garçon, au volant de sa camionnette se rend dans le Pas de Calais pour acheter et ramener du pain. M. PROT, maire de Longueau le remercie ainsi que MM BRIAUX et Nestor DEVAUCHELLE, respectivement propriétaires des cafés BRIAUX et de la COOP, pour leur concours bénévole en cette pénible
circonstance.
ANDRE Gérard, 29 rue Jean Jaurès, boulangers de père en fils sur 3 générations.
Ce fut ensuite la boulangerie "PETIT",
et aujourd'hui M. Fricque.
DELFRAISY, 25
rue Marius Petit.
DAVRINCHE puis
GAUVIN, rue Marius Petit, la boulangerie
MARTIN cédée à Mme et M. VEYS.
Comme "PETIT", M. GAUVIN faisait la tournée du pain , après la voiture à cheval, au volant de sa "Ford".

2000 boulangerie Veys
FAUQUEMBERGUE :
rue du 8 mai.
RICHOMME, "AUX BONS ENFANTS" au bas de la rue Raymond Lefebvre,
cette rue autrefois appelée rue Moyenne.

boulangerie tenue par Eugène RICHOMME
et sa famille.

*
*
BATTAGE DE MOISSON.
DUPONT Marcel
, père de Muguette Houdant, installé rue Debrie. Il employait régulièrement des employés SNCF à la retraite (Albert AVRIL, Ernest BETHOUART, LABBE, CALVET…) et lorsque les bras manquaient, il recrutait du personnel à la sortie de prison d' Amiens. Et il recrutait également les "trimards", sorte de vagabonds qui logeaient à la belle étoile.

*
BERGER.
CLEMENT vivait la majeure partie de l'année dans sa roulotte. Il avait toutefois son domicile au numéro 2 de la rue Chevalier de La Barre.


tout à gauche, sur la photo, la maison de Clément le berger.

la maison du berger.
Pendant la belle période, il gardait les moutons des agriculteurs. Périodiquement sa roulotte était déplacée par leurs soins. Sa femme Céleste est restée une "figure" camonoise. Elle rejoignait tous les soirs son mari, lui apportait victuailles, l'eau pour les bêtes. Ils couchaient dans la roulotte.
Elle avait baptisé son baudet : "Jean-Marie". Malheureusement elle a dû modifier le prénom en "Jacques", son voisin s'appelait "Jean-Marie !"
*
CHARBONNIERS :
Kleber BERNARD et Thérèse.
C'est elle qui au volant de son camion livrait en charbon l'économat des Chemins de Fer de la rue Dejean d'Amiens.
VADIER Etienne, maire de Camon de 1921 à 1924 installé rue Roger Salengro.
Weinachter Jacques, le petit fils, (actuel maire de Lamotte Brebière) lui a succédé.
Il est décédé en 2006.
*
LES COIFFEURS DE CAMON
BAZIN : Son salon, à l'emplacement actuel des Ambulances Modernes, rue Marius Petit, avait été pulvérisé en 1943
lors des bombardements anglais.
M. BAZIN fut déporté en Allemagne.
A son retour, il poursuivit son activité dans un baraquement installé au 33 de la rue Marius Petit.
Après sa mort en 1950, Paul Garçon décide la démolition de son baraquement.
Il sera remonté par les soins de l'U.S. CAMON FOOTBALL et sera utilisé comme vestiaire de l'ancien stade qui, à l'époque, était face au cimetière, de l'autre côté de la rue.

DANCOURT, madame DANCOURT, d'abord installée au N° 4 de la rue Jean Jaurès, puis au N° 14 , dans la maison actuellement occupée par le Docteur Bouchez.
Son mari Charly y exerça les fonctions de droguiste, avant d'être éleveur de
visons. (voir ci-dessous)
HORCHOLLE René, coiffeur pour hommes et dames, au N° 5 de la rue Emile Debrie, c'est-à-dire à l'angle de l'avenue Gabrielle.
et de la rue Emile Debrie.
LELEU, dit "ech'barbier", coiffeur attitré des "Anciens" au 16 de la rue Jean Jaurès.
"De son souffle
puissant, il enlevait de la tête de ses clients, les quelques cheveux
récalcitrants qui refusaient la liberté".
dixit Pierre Beauvais.
Sa femme Marie coiffait les messieurs. Armée de son blaireau, elle "préparait" le client
!
PETIT coiffeur pour homme. Il s' installa d'abord rue Victor Mauduit, face à la poste. Par la suite il élit domicile devant l'église.
et plus tard,
Mme et M. PAPILLON lui
succèderont.


Jacques
PAPILLON DECEDE LE 4 JUILLET 2004, Mme Papillon prend sa retraite en sept. 2007
*
CORDONNIERS.
"ECH'TURCO" comme on l'appelait. Ce surnom venait du fait qu'il avait rejoint un bataillon de Turcs lors d'une guerre en Algérie.
Installé rue Karl Marx, iI fabriquait des chaussures de chasse.
TARJET, au numéro 10 de la rue Charles Flet.
Mme VANDAELE Marguerite au 20 rue Emile Debrie.
*
ELEVEURS :
DE VISONS.
Charly DANCOURT avait ramené de Laponie quelques couples de visons pur race qu'il élevait dans des cages suspendues.
*
FERBLANTIERS. QUINCAILLERS.
AZERONDE Louis.
Couvreur zingueur. Commandant des pompiers
(rue victor Mauduit)

Il était conseiller municipal sous les mandats de Emile COFFIN et de Etienne VADIER.

Autres quincaillers :
GAMBIER Gabriel, 28 rue Karl Marx.
LOYER
au 21 rue Roger Allou.
DEMESSE,
rue Victor Mauduit.
HOUDANT Bruno place
du général Leclerc,
Mme QUENSON, rue
Marius Petit.
*
FLEURISTES
Gérard THIERRY. Fleurs. 18 rue
Marius Petit.
FLORODYL, 1 rue de l'Abreuvoir.
*
GARAGE - TRANSPORT.
DUPONT Bernard, rue Marius Petit, là où sont installées aujourd'hui les "Ambulances modernes"
DELIGNY Hervé
rue Marius Petit qui
a pris sa retraite en 2000.
MERY, rue Henri Barbusse, au N° 107.
ALLIOTTE,
45 rue Roger Allou. Il était plus spécialisé dans le machinisme agricole. Il a précédé le garage TAILLAINT, puis PETIT.
Le garage est aujourd'hui fermé.
GERMAIN Roger 14 rue Jean
Moulin,
POINCELIN, rue Henri
Barbusse,
PONCHARD rue Paul
Vaillant Couturier
Carosserie POUILLEUTE,
rue Charles FLET.
PIECES OCCASION AUTO,
route de Corbie, Camon.
*
GRAINETERIE :
DUFOUR Victor, au 32 rue Emile Debrie. Ancien maraîcher "converti". Il vendait des engrais, des graines.
WEINACHTER Jacques, à l'angle des rues du 11 novembre et de la Roger Salengro.
*
HORTILLONS.
ANGOT J. - ANGOT Maurice - BAUDRY. G. - BOURRE Rémi - CORNET Jean (Père et fils) - DAMENEZ A. - DARRAS Maurice - DARRAS A. - DARRAS Denis - DARRAS M. DHEILLY - DEVAUCHELLE G. - GEOFFROY Jacques - GRARE Fernand -
GRARE Roland - GRARE Robert - HERICOTTE Onésiphore, Calippe - HUYGEN Charles - HUYGEN Fernand - LECOCQ Mme - LOTTIN - OSSART - PLESSIER R. - QUEVAL Michel - ROBILLARD André - ROBILLARD Georges dit Jojo - ROBILLARD Marcel - ROY J.
- SIMONIN Marcel
- VANDERTISCHLEN - VERMEULEN -

*
INFIRMIERES.
BOIGNARD Mme, au 34 rue Victor Mauduit.
GAUVEL Mme, sage femme, 29 rue Emile Debrie.
JUMEL familièrement appelée grand'mère JUMEL
LECOINTE, les sœurs Lecointe Eve et Rose, infirmières bénévoles, dans le haut de la rue Chevalier de La Barre, au numéro 63, la maison habitée aujourd'hui par la famille FAUCHILLE

la maison des "Fauchille"
Elles n'avaient d'autres soucis que celui de rendre service.
Paul CLABAUT raconte que ces dames restèrent de vraies légendes avec leur vélo et leur …auto ! Jugez-en
par vous-même :
"Leur voiture n'avait pas de jauge à essence. Bernard DUPONT, garagiste, monsieur très complaisant utilisait le manche de son balai pour les vérifications de remplissage.
Un beau jour, ces dames sans doute impatientes de ne pas revoir leur pompiste appelé entre temps au téléphone, sans coup férir, démarrent en trombe, le manche à balai, espèce de thermomètre géant, au cul de la voiture.
Infirmières, la légende raconte qu'elles aiguisaient sur le mur
de briques leurs aiguilles d'injection...Mais c'est une légende !
BAUDOUIN Violette, au 40 rue Victor Mauduit. Elle fut adjointe au maire. Assistante sociale agréée auprès des services de la préfecture et de la police. Elle vient de mourir en maison de retraite à Marie-Marthe
QUIGNON, (Mlle) rue Henri Barbusse.
CAUBLOT Mme rue
Pierre Marie Curie.
*
LES JOURNAUX.
Porteur de dépêches : Mme Veuve
DEVAUCHELLE.
Puis Mme TROGNEUX
la femme du fabricant de machines à laver précité. Elle assurait la diffusion du "Progrès de la Somme" ce quotidien qui devait disparaître à la fin de la guerre pour des raisons d'ordre politique. Elle distribua ensuite le "Courrier Picard".
Aujourd'hui,
2007, le courrier est distribué par Roger BONNENFANT.
CENTRALE PRESSE
Véronique ALLOU.
*
MARECHAL FERRANT
BOCQUET.
*
MEDECINS
Docteur de SAINT AUBERT, au 29 de la rue Emile Debrie,

Docteur FECAMP domicilié à Rivery.
Docteurs ROVILLAIN, ARNAUD, MASSY, BOUCHEZ, s'associeront plus tard pour créer en 1971 la
"MAISON MEDICALE".
Leur succéderont les Docteurs HANNEBICQUE, ROUSSEL, MASSY-FLOCH,
et tout récemment Bernard DRAPALA.
Dentistes : LECOCQ/STERIN
les infirmières : Catherine Leboeuf, Valérie Hocine,
François, et l'orthophoniste : Valéry Houssin.
*
MENUISIERS
RAMBOUR, qui entre autres choses fabriquaient des cercueils.
BOUCHEZ
DUCATEL, N° 7 de la place de l'église.
CHATELAIN
BOCQUET qui assurera en 1957 la menuiserie de la nouvelle Mairie qui s'édifiait sur l'emplacement du café Briaux
Aujourd'hui FRANCOIS Bernard, rue du
chevalier La Barre.
LEFEVRE Michel 57 rue du
Chevalier Labarre.
*
MERCERIE-COUTURE.
Germaine DELAIGLE au 205 de la rue Roger Salengro.
Germaine DAMOUR
Marcelle FOURNIER, mère de René Fournier de la rue Pierre Curie
Au 5 de la rue Marius Petit,
face au Familistère, qui devint par la suite Radar, puis maison de jeux,
Lucie DUCATEL, puis sa fille Yvonne Boucher, tinrent la mercerie...

Yvonne Boucher
(photo Marcel Martin)
...pour la céder par la suite à
Raymonde COCQUET de 1937 à 1979.

en plus de la mercerie, elle vendait des bonbons aux enfants de l'école :Ils venaient chercher
"deux sous de boules de gomme, des bonbons salés ou du zan", des cahiers, ardoises et crayons.
Elle confectionnait chemises "à longue bannière" pour hortillons

Elle fut remplacée par "CHEZ CHRISTINE" que tint Thérèse FRION.
(Aujourd'hui la place est occupée par un prothésiste dentaire).
Raymonde, mère de Lucienne CANDRE est décédée en septembre 2007.
DEVILLERS Mme, rue Jean Jaurès à quelques mètres de
la boulanger, au numéro 33.
GOSSE Mme, 24 rue Jean Jaurès, la maison à l'angle des rues Jean Jaurès et Victor Mauduit.
*
NEGOCIANTS EN VINS.
GRANGER, négociant en vin au 34 de la rue Emile Debrie.
MENARD, au 17 de la rue Marius Petit. Il était aidé de M OSSART père de Marcel et de Pierre.
MASSE Adalbert, conseiller municipal était établi au coin de la rue Chevalier de La Barre et de la rue Roger Salengro. Alcools, boissons, liqueurs.
BRETAULT
: au 36 de la rue Emile Debrie.
*
OPTICIEN
Mars 2006...:
Un
opticien à Camon !
Stéphane HOUDANT
s'installe sur la place, au numéro 16.
son enseigne ? :

*
PEINTRES
CHARTIER, rue Jean Jaurès
DECAUX Raymond, rue Paul Vaillant Couturier.
Entreprise TAHON, rue Emile Zola.
FLINTHAM rue Honoré de Balzac
*
PHARMACIENS.
J et O FAUROUX. Ils ont précédé les "DELENCLOS"
Mme MASSY-MAZET : place du 8 mai. Puis M. DAMIEN et...
aujourd'hui
Anne JACQUEMIN (Mme MAISON) qui vient de s'installer rue Emile ZOLA.
Le 21 mars 2006 : La pharmacie "Maison-Jacquemin",
quitte la place du 8 mai...

... pour aller s'établir rue Emile Zola.

*
POSTE (PTT)
Située alors au numéro 34 de la rue Jean Jaurès.
M. CONTY receveur était seul pour assurer la fonction.
Le bureau de poste s'installa par la suite rue Victor Mauduit. Puis, dernièrement Place de la Mairie.

*
PROFESSEUR DE MUSIQUE.
LENAIN Jeanne, rue Emile Debrie.
*
RADIESTHESISTE.
TROUILLET, "la Sapinière" rue Charles Flet dans l'ancienne maison de M. MORGAND, maire de Camon après la Révolution.

"Compte tenu de l'emplacement préjudiciable à la circulation des piétons , le Conseil, sous Paul Garçon autorise M. Trouillet propriétaire de la Sapinière à placer sur son trottoir des caissons mobiles contenant de petits arbustes et ce, moyennant une redevance de 200 francs".
*
Une cartomancienne :
Madame CHANTAL GREISSIER
Tarots et dominos, 139 rue Honoré de
Balzac.
REPASSEUSE :
BOCQUET Emilienne, femme du maréchal Ferrant, 14 rue E. Debrie.
Elle repassait chemise amidonnée, louait des robes de communiantes, confectionnait des rideaux,… elle était très qualifiée. C'est sa maman qui sonna les cloches de l'église … jusqu'en 1931.
COFFIN
Yolande tenait un pressing, rue Roger Salengro.
*
LES SONNEURS DE CLOCHES de l'EGLISE
MM Bocquet, Godin, Chartier...
*
TRANSPORTEURS.
COZETTE et FAFOT
rue du 11 novembre.
MALLET Paul Route de Corbie, Petit Camon
*
VEDETTES
Jeanne ANGOT, chanteuse d'opérette.
Tout le voisinage l'entendait dans son répertoire très riche.
D'ailleurs chaque semaine, avec son mari, hortillon, elle se rendait au théâtre à Amiens.
En plein hiver, elle ne savait pas ce qu'était "chauffer un intérieur".
"Même son médecin traitant ne quittait pas sa canadienne lors de ses visites".

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