DIAPORAMA

 

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L'ECOLE DE MUSIQUE.

    1956 : article de presse intitulé : "Aux portes de la cité"

    CAMON :

"les cours de musique vont reprendre dès le mois de novembre. Nous somme en 1956. Ils seront organisés de la manière suivante :

Première année : cours élémentaire gratuit, une heure par semaine à l'école, avec Raymond SACHY,

Deuxième année : cours moyen, 200 F. par mois. Deux fois une heure par semaine, au siège de la Fanfare, avec M. Eugène DEVAUCHELLE,

Dès la troisième année, les élèves pourront apprendre un instrument  prêté gracieusement par la Fanfare de Camon.

Les parents intéressés par ces cours  sont priés d'assister à la réunion d'information qui aura lieu au siège de la Fanfare, lundi prochain, 19 heures.

 

    1978 : le 1er janvier 1978, sous le mandat de Emile Baheu, sondage auprès des enfants :

74 enfants sont intéressés par une école de musique.

Léone GROSLEZIAT en assure la direction.

Son siège : un local de l'école des filles

rue Raymond Lefebvre.

 

15 francs par an et par enfant.

        Janvier 1979

A l’initiative de Léone GROSLEZIAT,  création d’une association pour permettre le fonctionnement de l’école de musique bien que

        M. BECARD, alors adjoint sous le mandat de Emile BAHEU, propose

une autogestion communale.

MM. Gandon et MERCIER  font alors remarquer que les élus communistes ne sont pas les seuls auteurs de cette proposition et

M.Noiseliet estime que la présentation de ces propositions ne revêt pas un caractère très démocratique.

 

                1983 : président  M. BIHARE.

 

    1988 : 10 ème anniversaire de la création :

 

MM Bécard et M. Biharé s'apprêtent à couper le gâteau anniversaire.

   

            1989 : Nouveau Bureau à la suite de la démission de M. BIHARE :

                            Présidente : Mme KEFEDER, William DUFOSSE.

                            Trésoriers : Jean-François VERITE, M. WILLS et Mme SUEUR.

                            Secrétaires : Mme GANDON et M. MEYER.

 

    1990 : Dans "vivre à Camon" juillet 1990 :

"Ne restez pas avec cette démangeaison  qui vous fait claquer des doigts et battre de la semelle à chaque concert.

Cessez de vous reprocher chaque année de ne pas être encore inscrit à la classe d'orchestre."               

                                                                             Pierre Delenclos.

   

VENDREDI 13 NOVEMBRE 1990.

CONSEIL MUNICIPAL

                                

                                Conséquence d'un gouffre financier,  (voir plus loin)

                   M. BECARD, Maire et les  Elus participent à l’assemblée générale de l'Association.

Le bureau de l’Association et une bonne partie du conseil d’administration  veulent la dissolution de l’école de musique et  de l’association ce à quoi, l'assemblée et la Municipalité réagissent vivement.

Le Maire, M. BECARD,  insiste pour cette école créée il y a douze ans  (1978), école et qui a bénéficié de fortes subventions de la ville continue d'exister.

 

            et en conclusion, 

                            Le Maire décide  : 

            - que le 31 décembre 1990, l'on prend acte de la démission du bureau, de son président  et d’une partie du conseil d’administration

            - La création le 1er janvier 1991, d'une école de musique municipale.

        

 

     dans "VIVRE CAMON" JANVIER 1991

Albert Bécard, maire.

 

L'école de musique de Camon a été créée il y a 13 ans par la Municipalité...

Ces dernières années des difficultés sont apparues entraînant une mutation importante

à la fin des années 1990.

 

Pourquoi ces difficultés financières aiguës en octobre novembre 90 ?

- le nombre d'élèves de plus en plus important particulièrement de l'extérieur.

- Des charges sociales lourdes à rattraper sur les salaires des professeurs.

- La Municipalité a versé une subvention d'équilibre de 131 000 F en 1989.

- Pour 1990, le Président réclame 240 000  F soit +83 % par rapport à 1989.

- Et pour 1991, les prévisions s'établissent à 310 000 F soit encore +29 % par rapport à 1990.

C'est là une évolution tout à fait impossible pour le budget communal.

 

Décisions du Conseil Municipal :

    -Faire  payer le prix coûtant aux gens de l'extérieur et

    - Maintien des tarifs 90/91 pour les élèves de Camon.

 

La situation étant bloquée de par la volonté d'un certain nombre de professeurs et d'une partie des membres du Conseil d'Administration :

le 1 er janvier 1991, nous créons une école de musique municipale.

 

   ce qui signifie  par la Municipalité : 

- le recrutement du directeur et des professeurs,

- la gestion du budget.

 

 

 1er janvier 1991:  Pascal SENECHAL, président.

             Un bon nombre de qualifications :

médaille d'or de trompette au conservatoire national de région d'Amiens,

Premier de cornet à la Fédération musicale de la Somme,

Titulaire du diplôme d'Etat de professeur de trompette,

Cornet solo à la musique des troupes de marine, musique présidentielle,

Trompettiste à la Musique des Gardiens de la Paix de Paris,

Trompettiste au Sinfonietta de Picardie...

Enseignant à Evreux, Choisy le Roy et aujourd'hui à Camon.

 

 

 

                    Progression incessante des effectifs de l'école de musique :

    1991 : 21 élèves,

    1992 : 40 élèves

    1993 : 57 élèves

    1994 : 70 élèves.

Michel PONTHIEU, maire.

                                

C'était en mai 2000.

2004 - 2005 : 108 élèves avec étude solfège.

par instruments :

Clarinette : 14 élèves

Piano : 16,

Flûte : 16,

Guitare : 7,

Tuba : 3,

Trompette : 15

Saxophone : 10,

Batterie, percussion : 11

AVRIL 2006 : l'école représente Camon en Roumanie

 

 

44 musiciens de la classe d'orchestre de Camon se retrouvent le mardi 11 avril 2006, dans une salle Aragon archipleine. Il s'agit d'une répétition solennelle.

En effet, sous l'égide de Pascal Sénéchal, directeur de l'école de musique, en liaison avec la M.P.T. de Rivery, du 16 au 25 avril 2006l, la formation se rend en Roumanie et en Bulgarie.

Elle y reste dix jours pour six concerts dont un au grand théâtre de Bucarest.

Un accueil chaleureux et enthousiaste : soirées, réceptions officielles, repas dans les familles...

Une expérience qui restera gravée dans les mémoires des participants.

quelques clichés-souvenirs qui parlent d'eux-mêmes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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